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sculpture Laurent Chaineux



Les caresses se bousculent
au portillon de mes mains
laquelle courbera ton corps
je la cherche
laquelle t'arrachera le cri
je ne sais
déjà ton sexe supplie
tes yeux disent le plaisir latent
nos ventres s'épousent
et la noce est belle
une toute jeune fille geint en toi
sa beauté me confond
et nous fait complices
qu'elle est douce la mort
au confluent de tes jambes
lourdes et longues
ainsi rançonnées
Pleine

Tag(s) : #Poêmes, #Christian Erwin Andersen
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